
Un article écrit par ALPHONSE PITTET, Président du CQPF
"Nous avons des exemples concrets qui confirment que nous sommes capables de travailler en partenariat et de démontrer qu’il est possible d’améliorer des situations. L’Association canadienne pour les plantes fourragères (ACPF) a mandaté le CQPF pour gérer le programme Fonds d’action à la ferme pour le climat (FAFC) au Québec. Le but du projet est de transférer les connaissances pour implanter des techniques de gestion intensive des pâturages. La mobilisation des producteurs de bovins de boucherie, de leurs conseillers, des mentors, des gestionnaires de programmes, confirme que lorsque les partenaires d’une filière mettent leurs ressources en commun, les résultats peuvent être surprenants. "
Un article écrit par SNIZHANA OLISHEVSKA, PH. D., CEROM, en collaboration avec HUGUETTE MARTEL, Agr., MAPAQ Estrie, AYITRE AKPAKOUMA, M. SC. Agr., MAPAQ Bas-Saint-Laurent, et YAN GOSSELIN, Agr.
"Le panic érigé, une graminée pérenne de climat chaud, est de plus en plus cultivé pour sa paille par les entreprises agricoles du Québec. Sa longévité de production, son rendement élevé et sa capacité à protéger les sols contre l’érosion font son succès. Cependant, l’intégration de cette culture dans les rotations exige des connaissances précises pour relever les défis techniques de son implantation. Des capsules vidéo ont donc été réalisées selon des sections spécifiques du guide de production du panic érigé pour promouvoir et faciliter l’adoption de cette culture auprès des producteurs agricoles. Pour les visionner, il suffit de se rendre à l’adresse youtube.com/@CeromVideo."
Un article écrit par FRANCE BÉLANGER, M. SC. agr., Conseillère en productions animales au MAPAQ, Abitibi-Témiscamingue et Nord-du-Québec
"Il existe plusieurs types de pâturage au Québec. Le pâturage extensif, où une grande parcelle est broutée toute la saison, est bien plus utilisé qu’on puisse l’imaginer. De grands troupeaux occupent un territoire où aucune autre culture n’est possible, favorisant la présence agricole dans des conditions bien particulières."
Un article écrit par JOANNIE D’AMOURS, M.SC., Étudiante au doctorat du Département de sols et de génie agroalimentaire de la Faculté des sciences de l’agriculture et de l’alimentation, Université Laval et CAROLINE HALDE, PH.D., Agr., Professeure au Département de phytologie, Université Laval
"Comment les émissions de gaz à effet de serre (GES) d’une prairie permanente se comparent-elles à celles de systèmes de grandes cultures annuelles en régie biologique? C’est la question de recherche à laquelle a répondu une équipe de chercheur.e.s du CETAB+, d’Agriculture et Agroalimentaire Canada et de l’Université Laval."
Un article écrit par PHILIPPE SEGUIN, Ph. D. agr., Université McGill, en collaboration avec XIAWEI SHI, Université McGill, JULIEN SAGUEZ, CEROM, et ANNIE CLAESSENS, Agriculture et Agroalimentaire Canada
"La présence de la cicadelle de la pomme de terre (CPT) s’est intensifiée dans les luzernières depuis quelques années. Dans certaines régions des États-Unis, la CPT peut réduire aussi bien les rendements et la valeur nutritive que la survie hivernale de la luzerne. Cet insecte est également devenu un problème récurrent dans plusieurs régions du Québec, mais il y a peu d’information sur son incidence sur des luzernières locales. Un projet a été réalisé afin d’évaluer les différences de sensibilité à la CPT de variétés de luzerne commercialisées comme étant tolérantes et d’autres, sensibles, ainsi que leur réponse aux applications d’insecticide."
Un article écrit par MARIE-PIER BEAULIEU, Coordonnatrice à l’Association canadienne pour les plantes fourragères
"En sillonnant les rangs de la Montérégie, personne ne se surprend de constater que maïs et soya occupent une grande majorité des superficies cultivées. C’est en périphérie de Saint-Hyacinthe, à Saint-Simon-de-Bagot plus précisément, que vous pourriez être surpris. Plus tôt ce printemps, sur les terres de la Ferme Claessens et fils, près de 42 acres de prairie ont été aménagés en prévision de l’arrivée d’un groupe de bovins au pâturage.."
Un article écrit par MARIE BIPFUBUSA, PH.D., Chercheure en régie des cultures au CÉROM, avec la collaboration dew MÉLANIE GAUTHIER, Université Laval et AYITRE AKPAKOUMA MAPAQ
"Dans les régions périphériques du Québec, les cultures annuelles principalement rencontrées sont les céréales à paille, en raison de la saison de croissance plus courte et du climat frais. L’introduction dans la rotation de cultures de couverture et/ou de plantes fourragères, combinée à la diminution du travail du sol à long terme, est une stratégie potentiellement favorable à l’amélioration de la santé des sols. Afin de vérifier cette hypothèse, une étude a été réalisée à La Pocatière, au Bas-Saint-Laurent, sur un sol argileux de la série Kamouraska, où différentes intensités de travail de sol (labour, travail réduit avec chisel et semis direct) étaient réalisées depuis plus de 30 ans. De 2020 à 2022, une rotation avec des cultures de couverture a été comparée à une rotation avec des plantes fourragères, de même qu’à une rotation témoin."
Un article écrit par GUY ALLARD, Directeur du Pôle-PFQ
"En juin 2023, le Conseil québécois des plantes fourragères (CQPF) a déposé auprès du ministère de l’Agriculture du Québec les priorités du secteur des plantes fourragères pour les années 2023 à 2028. La consultation des producteurs et des intervenants du milieu s’est effectuée dans le cadre d’un projet financé par le Programme de développement sectoriel, en vertu du Partenariat canadien pour l’agriculture, une entente conclue entre les gouvernements du Canada et du Québec."
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Un article d'Annick Bertrand et Annie Claessens
"Dans le nord-ouest canadien, les producteurs de bovins utilisent des cultivars de luzerne très persistants, qui ne donnent toutefois qu’une seule coupe par saison. Le Dr Vern Baron, un chercheur du nord de l’Alberta, a mis au défi l’équipe d’amélioration génétique de Québec de développer des cultivars tout aussi persistants, qui donneraient deux coupes par saison. La stratégie de l’équipe a donc été d’augmenter le rendement saisonnier de cultivars très persistants en réduisant leur dormance automnale. "
Un article d'Annick Bertrand et Annie Claessens
"Dans le nord-ouest canadien, les producteurs de bovins utilisent des cultivars de luzerne très persistants, qui ne donnent toutefois qu’une seule coupe par saison. Le Dr Vern Baron, un chercheur du nord de l’Alberta, a mis au défi l’équipe d’amélioration génétique de Québec de développer des cultivars tout aussi persistants, qui donneraient deux coupes par saison. La stratégie de l’équipe a donc été d’augmenter le rendement saisonnier de cultivars très persistants en réduisant leur dormance automnale. "
Un article d'Annick Bertrand et Annie Claessens
"Dans le nord-ouest canadien, les producteurs de bovins utilisent des cultivars de luzerne très persistants, qui ne donnent toutefois qu’une seule coupe par saison. Le Dr Vern Baron, un chercheur du nord de l’Alberta, a mis au défi l’équipe d’amélioration génétique de Québec de développer des cultivars tout aussi persistants, qui donneraient deux coupes par saison. La stratégie de l’équipe a donc été d’augmenter le rendement saisonnier de cultivars très persistants en réduisant leur dormance automnale. "
Un article d'Annick Bertrand et Annie Claessens
"Dans le nord-ouest canadien, les producteurs de bovins utilisent des cultivars de luzerne très persistants, qui ne donnent toutefois qu’une seule coupe par saison. Le Dr Vern Baron, un chercheur du nord de l’Alberta, a mis au défi l’équipe d’amélioration génétique de Québec de développer des cultivars tout aussi persistants, qui donneraient deux coupes par saison. La stratégie de l’équipe a donc été d’augmenter le rendement saisonnier de cultivars très persistants en réduisant leur dormance automnale. "
Un article d'Annick Bertrand et Annie Claessens
"Dans le nord-ouest canadien, les producteurs de bovins utilisent des cultivars de luzerne très persistants, qui ne donnent toutefois qu’une seule coupe par saison. Le Dr Vern Baron, un chercheur du nord de l’Alberta, a mis au défi l’équipe d’amélioration génétique de Québec de développer des cultivars tout aussi persistants, qui donneraient deux coupes par saison. La stratégie de l’équipe a donc été d’augmenter le rendement saisonnier de cultivars très persistants en réduisant leur dormance automnale. "
Un article d'Annick Bertrand et Annie Claessens
"Dans le nord-ouest canadien, les producteurs de bovins utilisent des cultivars de luzerne très persistants, qui ne donnent toutefois qu’une seule coupe par saison. Le Dr Vern Baron, un chercheur du nord de l’Alberta, a mis au défi l’équipe d’amélioration génétique de Québec de développer des cultivars tout aussi persistants, qui donneraient deux coupes par saison. La stratégie de l’équipe a donc été d’augmenter le rendement saisonnier de cultivars très persistants en réduisant leur dormance automnale. "
Un article d'Annick Bertrand et Annie Claessens
"Dans le nord-ouest canadien, les producteurs de bovins utilisent des cultivars de luzerne très persistants, qui ne donnent toutefois qu’une seule coupe par saison. Le Dr Vern Baron, un chercheur du nord de l’Alberta, a mis au défi l’équipe d’amélioration génétique de Québec de développer des cultivars tout aussi persistants, qui donneraient deux coupes par saison. La stratégie de l’équipe a donc été d’augmenter le rendement saisonnier de cultivars très persistants en réduisant leur dormance automnale. "
Un article d'Annick Bertrand et Annie Claessens
"Dans le nord-ouest canadien, les producteurs de bovins utilisent des cultivars de luzerne très persistants, qui ne donnent toutefois qu’une seule coupe par saison. Le Dr Vern Baron, un chercheur du nord de l’Alberta, a mis au défi l’équipe d’amélioration génétique de Québec de développer des cultivars tout aussi persistants, qui donneraient deux coupes par saison. La stratégie de l’équipe a donc été d’augmenter le rendement saisonnier de cultivars très persistants en réduisant leur dormance automnale. "
Un article d'Annick Bertrand et Annie Claessens
"Dans le nord-ouest canadien, les producteurs de bovins utilisent des cultivars de luzerne très persistants, qui ne donnent toutefois qu’une seule coupe par saison. Le Dr Vern Baron, un chercheur du nord de l’Alberta, a mis au défi l’équipe d’amélioration génétique de Québec de développer des cultivars tout aussi persistants, qui donneraient deux coupes par saison. La stratégie de l’équipe a donc été d’augmenter le rendement saisonnier de cultivars très persistants en réduisant leur dormance automnale. "
Un article d'Annick Bertrand et Annie Claessens
"Dans le nord-ouest canadien, les producteurs de bovins utilisent des cultivars de luzerne très persistants, qui ne donnent toutefois qu’une seule coupe par saison. Le Dr Vern Baron, un chercheur du nord de l’Alberta, a mis au défi l’équipe d’amélioration génétique de Québec de développer des cultivars tout aussi persistants, qui donneraient deux coupes par saison. La stratégie de l’équipe a donc été d’augmenter le rendement saisonnier de cultivars très persistants en réduisant leur dormance automnale. "
Un article d'Annick Bertrand et Annie Claessens
"Dans le nord-ouest canadien, les producteurs de bovins utilisent des cultivars de luzerne très persistants, qui ne donnent toutefois qu’une seule coupe par saison. Le Dr Vern Baron, un chercheur du nord de l’Alberta, a mis au défi l’équipe d’amélioration génétique de Québec de développer des cultivars tout aussi persistants, qui donneraient deux coupes par saison. La stratégie de l’équipe a donc été d’augmenter le rendement saisonnier de cultivars très persistants en réduisant leur dormance automnale. "
Un article d'Annick Bertrand et Annie Claessens
"Dans le nord-ouest canadien, les producteurs de bovins utilisent des cultivars de luzerne très persistants, qui ne donnent toutefois qu’une seule coupe par saison. Le Dr Vern Baron, un chercheur du nord de l’Alberta, a mis au défi l’équipe d’amélioration génétique de Québec de développer des cultivars tout aussi persistants, qui donneraient deux coupes par saison. La stratégie de l’équipe a donc été d’augmenter le rendement saisonnier de cultivars très persistants en réduisant leur dormance automnale. "
Un article d'Annick Bertrand et Annie Claessens
"Dans le nord-ouest canadien, les producteurs de bovins utilisent des cultivars de luzerne très persistants, qui ne donnent toutefois qu’une seule coupe par saison. Le Dr Vern Baron, un chercheur du nord de l’Alberta, a mis au défi l’équipe d’amélioration génétique de Québec de développer des cultivars tout aussi persistants, qui donneraient deux coupes par saison. La stratégie de l’équipe a donc été d’augmenter le rendement saisonnier de cultivars très persistants en réduisant leur dormance automnale. "
Un article d'Annick Bertrand et Annie Claessens
"Dans le nord-ouest canadien, les producteurs de bovins utilisent des cultivars de luzerne très persistants, qui ne donnent toutefois qu’une seule coupe par saison. Le Dr Vern Baron, un chercheur du nord de l’Alberta, a mis au défi l’équipe d’amélioration génétique de Québec de développer des cultivars tout aussi persistants, qui donneraient deux coupes par saison. La stratégie de l’équipe a donc été d’augmenter le rendement saisonnier de cultivars très persistants en réduisant leur dormance automnale. "
Un article d'Annick Bertrand et Annie Claessens
"Dans le nord-ouest canadien, les producteurs de bovins utilisent des cultivars de luzerne très persistants, qui ne donnent toutefois qu’une seule coupe par saison. Le Dr Vern Baron, un chercheur du nord de l’Alberta, a mis au défi l’équipe d’amélioration génétique de Québec de développer des cultivars tout aussi persistants, qui donneraient deux coupes par saison. La stratégie de l’équipe a donc été d’augmenter le rendement saisonnier de cultivars très persistants en réduisant leur dormance automnale. "
Un article d'Annick Bertrand et Annie Claessens
"Dans le nord-ouest canadien, les producteurs de bovins utilisent des cultivars de luzerne très persistants, qui ne donnent toutefois qu’une seule coupe par saison. Le Dr Vern Baron, un chercheur du nord de l’Alberta, a mis au défi l’équipe d’amélioration génétique de Québec de développer des cultivars tout aussi persistants, qui donneraient deux coupes par saison. La stratégie de l’équipe a donc été d’augmenter le rendement saisonnier de cultivars très persistants en réduisant leur dormance automnale. "
Un article d'Annick Bertrand et Annie Claessens
"Dans le nord-ouest canadien, les producteurs de bovins utilisent des cultivars de luzerne très persistants, qui ne donnent toutefois qu’une seule coupe par saison. Le Dr Vern Baron, un chercheur du nord de l’Alberta, a mis au défi l’équipe d’amélioration génétique de Québec de développer des cultivars tout aussi persistants, qui donneraient deux coupes par saison. La stratégie de l’équipe a donc été d’augmenter le rendement saisonnier de cultivars très persistants en réduisant leur dormance automnale. "
Un article d'Annick Bertrand et Annie Claessens
"Dans le nord-ouest canadien, les producteurs de bovins utilisent des cultivars de luzerne très persistants, qui ne donnent toutefois qu’une seule coupe par saison. Le Dr Vern Baron, un chercheur du nord de l’Alberta, a mis au défi l’équipe d’amélioration génétique de Québec de développer des cultivars tout aussi persistants, qui donneraient deux coupes par saison. La stratégie de l’équipe a donc été d’augmenter le rendement saisonnier de cultivars très persistants en réduisant leur dormance automnale. "
Un article d'Annick Bertrand et Annie Claessens
"Dans le nord-ouest canadien, les producteurs de bovins utilisent des cultivars de luzerne très persistants, qui ne donnent toutefois qu’une seule coupe par saison. Le Dr Vern Baron, un chercheur du nord de l’Alberta, a mis au défi l’équipe d’amélioration génétique de Québec de développer des cultivars tout aussi persistants, qui donneraient deux coupes par saison. La stratégie de l’équipe a donc été d’augmenter le rendement saisonnier de cultivars très persistants en réduisant leur dormance automnale. "
Un article d'Annick Bertrand et Annie Claessens
"Dans le nord-ouest canadien, les producteurs de bovins utilisent des cultivars de luzerne très persistants, qui ne donnent toutefois qu’une seule coupe par saison. Le Dr Vern Baron, un chercheur du nord de l’Alberta, a mis au défi l’équipe d’amélioration génétique de Québec de développer des cultivars tout aussi persistants, qui donneraient deux coupes par saison. La stratégie de l’équipe a donc été d’augmenter le rendement saisonnier de cultivars très persistants en réduisant leur dormance automnale. "