Nouvelles

UNE NOUVELLE GESTIONNAIRE DE PROJET AU PÔLE-PFQ

Articles - Image d'intro
Suite à la retraite de Monsieur Guy Allard, le comité Pôle-PFQ a recruté Marie-Pier Beaulieu pour gérer le déploiement du projet ''Mesurer pour s'améliorer: de la mesure à l'augmentation des rendements des plantes fourragères pérennes au Québec dans un contexte de changements climatiques''.

Avec ses deux volets, ce projet vise à rendre les producteurs autonomes dans la compilation de leurs rendements par champ et à mettre en place un réseau d’intervenants qui compile les données (rendement, climat, sol…) et sera en mesure de présenter aux producteurs des pistes de solutions en vue de surmonter les contraintes liées à la stagnation des rendements aux champs (volet 1). Dans un contexte de réduction des émissions de gaz à effet de serre, les crédits-carbone liés à la production des plantes fourragères pérennes pourront être comptabilisés lorsque les rendements déclarés pourront être audités. En parallèle, seront effectuées la planification et la priorisation des actions et projets à réaliser en plantes fourragères pérennes (volet 2).


Marie-Pier Beaulieu - Gestionnaire du volet 1


marie-pier.beaulieu1234@outlook.com
T. 819 291-2345

Administratrice au CQPF et coordonnatrice du programme de gestion avant-gardiste des pâturages soutenu par le Fonds d’action à la ferme pour le climat, Marie-Pier est une femme d’action qui détient une vaste expérience dans le secteur et un important réseau autant chez les intervenants que chez les producteurs. Elle travaillera en étroite collaboration avec Marie-Pier Landry et son équipe du CIARC.

Le volet 1 du projet vise à créer un engouement pour convaincre des producteurs d'aller de l’avant dans la prise de mesures précises des rendements fourragers en vue, par émulation, d’entraîner plusieurs producteurs à se soucier de leurs rendements fourragers à l'hectare et ainsi favoriser la prise de mesures précises des rendements fourragers aux champs. Le tout dans un contexte de changements climatiques où les rendements des espèces fourragères pérennes sont appelés à fluctuer et que le bioalimentaire vise à réduire son empreinte carbone.

Retour à la liste des nouvelles